L’éclairage de la connaissance illumine
le sujet d’un jour toujours renouvelé
avec chaque nouvelle connaissance.
Pour un nez,
il n’y a pas de mauvaises odeurs par exemple.
Il va sans cesse analyser
ce qui se présente à son organe de détection
puiser dans sa bibliothèque
parmi les 1 500 odeurs mémorisées
identifier les composants
de l’alliage de molécules qu’il a senti.
Un peu comme un ethnologue
qui face à un être humain va observer,
comparer dans les bases de données
accumulées depuis des centaines d'années
par ses prédécesseurs et lui même
pour qualifier l’humain à qui il a affaire.
Il en va peut-être des humains
comme des parfums,
il n’y en pas de mauvais, ni de bon
seulement un alliage dont l’alchimie est différente.
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