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Photo du rédacteurArthur Baudon Vernet

Une question de nez

L’éclairage de la connaissance illumine

le sujet d’un jour toujours renouvelé

avec chaque nouvelle connaissance.

Pour un nez,

il n’y a pas de mauvaises odeurs par exemple.

Il va sans cesse analyser

ce qui se présente à son organe de détection

puiser dans sa bibliothèque

parmi les 1 500 odeurs mémorisées

identifier les composants

de l’alliage de molécules qu’il a senti.

Un peu comme un ethnologue

qui face à un être humain va observer,

comparer dans les bases de données

accumulées depuis des centaines d'années

par ses prédécesseurs et lui même

pour qualifier l’humain à qui il a affaire.

Il en va peut-être des humains

comme des parfums,

il n’y en pas de mauvais, ni de bon

seulement un alliage dont l’alchimie est différente.



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